La vibration
dans la chair
et la pression
ne me serraient
jamais assez.
Des vêtements
parmi des fleuves
doux visage
qui y coulait.
Les yeux brillent
le plaisir de la cire.
Des lèvres effleurées
le corps suspendu
dans des bras
et frissons
autour du cou.
Le rêve s’est brisé
de joie
les eaux
ruissellent
entre réalité
et imagination
mardi 7 juillet 2009
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